Pierres angulaires de ce nouveau marché, certaines ont été bien identifiées et d’autres restent beaucoup plus vagues. Par exemple, pour coder un smart contract sur Ethereum, il va falloir apprendre le langage Solidity (si ça vous intéresse c’est avec le projet CryptoZombies), qui nécessite des pré-requis en C++ ou Javascript.
Mais quid de tou(te)s ces acteur(trice)s (majoritaires !) qui ne connaissent pas ou peu le code et font pourtant vivre l’écosystème de la blockchain ? Vu qu’il existe de nombreuses initiatives et outils communautaires pour permettre à tout un chacun de participer à cet environnement, les compétences sont aussi décentralisées qu’un réseau de noeud Bitcoin.
Là où ça devient intéressant, c’est lorsqu’on essaie de les identifier.
En voici une liste non exhaustive : Graphisme, community management, influencer, 3D, beta-tester, direction partagée de projets, video, marketing, analyste, rédaction web…
Toutes les communautés Crypto ont ces compétences dans leur rang, sans quoi personne n’entendrait parler d’eux… et souvent leurs membres apprennent de manière autodidacte grâce à une entraide mutuelle.